«Je voudrais qu’en ces jours le monde prie à mes côtés le plus possible. (…) Enfin que tous prient chaque jour au moins le Rosaire: les mystères joyeux, douloureux et glorieux.» 14 août 1984
«Chers enfants, de nouveau je vous demande la prière avec le cœur. Que la prière, chers enfants, soit votre nourriture quotidienne. (…) La prière sera pour vous joie et repos. Merci d’avoir répondu à mon appel.» 23 mai 1985
«Chers enfants, aujourd’hui, je vous demande de commencer à prier le Rosaire avec une foi vive. Ainsi, je pourrai vous aider. (…)Chers enfants, je vous demande de prier le Rosaire. Qu’il soit pour vous une obligation que vous accomplirez avec joie.» 12 juin 1986
«Chers enfants, réjouissez-vous avec moi! (…) Je souhaite, chers enfants, que Jésus vous transforme, vous enseigne et qu’il vous protège. (…) Je vous demande une prière sincère avec le cœur. Que chacune de vos prières soit une rencontre avec Dieu. Dans le travail et dans votre vie de tous les jours, placez Dieu à la première place. » 25 décembre 1987
La Bible
«Chers enfants, aujourd’hui je vous demande de lire la Bible chaque jour dans vos maisons et de la placer en évidence dans un endroit, pour toujours vous inciter à la lire et à prier. Merci d’avoir répondu à mon appel.» 18 octobre 1984
Le jeûne
«Je voudrais qu’en ces jours le monde prie à mes côtés le plus possible. Que les gens jeûnent sévèrement mercredi et vendredi.» 14 août 1984
« En particulier, vivez le jeûne, car par lui vous pourrez me faire la joie de voir se réaliser tout le plan que Dieu a prévu ici à Medjugorje » 26 septembre 1985
La confession
« Faites la paix avec Dieu et entre vous. Pour cela il faut croire, jeûner et se confesser. » 26 juin 1981
« Il faut inviter les gens à se confesser chaque mois, surtout le premier samedi. La confession mensuelle sera un remède pour l’Église de l’Ouest.» 6 août 1982
«Ne vous confessez pas par habitude, pour rester le même après cela . Non, ce n’est pas bien. La confession doit donner une impulsion à votre foi. Elle doit vous stimuler et vous rapprocher de Jésus.» 7 novembre 1983
La Sainte Messe
« La messe est la plus grande prière de Dieu. Vous ne pourrez jamais en comprendre la grandeur. C’est pourquoi vous devez être parfaits et humbles à la messe et vous devez vous y préparer.» 1983
“Chers enfants, je vous demande de vivre la sainte messe.(…) Jésus vous donne ses grâces pendant la messe. C’est pourquoi, vivez lucidement la sainte messe. Que chaque venue à la messe soit une joie. Venez-y avec amour.» 3 avril 1986
«Chers enfants, Dieu veut faire de vous des saints. C’est pourquoi, il vous appelle par moi à l’abandon complet. Que la sainte messe soit vie pour vous. Comprenez bien que l’église est le palais de Dieu. C’est le lieu où je vous rassemble et où je veux vous montrer le chemin vers Dieu. Venez et priez! Ne regardez pas les autres, ne parlez pas d’eux de façon malveillante, mais que votre vie soit un témoignage sur la voie de la sainteté. Les églises sont dignes de respect. Elles sont sanctifiées, car Dieu qui s’est fait homme y habite jour et nuit. » 25 avril 1988
Le dimanche 7 novembre 1999 à Lourdes, lors de l’Assemblée plénière des Évêques de France, une messe a été célébrée et diffusée en direct sur France 2. Au cours Épiclèse, c’est-à-dire la liturgique qui est l’appel que l’on adresse à l’Esprit-Saint pour qu’il vienne, par son opération divine, consacrer les offrandes présentées par l’Église à la messe, alors que les mots « Sanctifient ces offrandes en répandant sur elles…” l’hostie consacrée est entrée en lévitation. Voir la 39ième seconde de la vidéo.
La formule complète de l’appel est « Sanctifie ces offrandes en répandant sur elles ton Esprit ; qu’elles deviennent pour nous le corps et le sang de Jésus, le Christ, notre Seigneur».
Seul un père dominicain ou un prêtre qui en a le pouvoir peut rendre un chapelet rosarié avec la formule suivante.
BENEDICTIO ROSARUM SOCIETATIS SACRATISSIMI ROSARII
Propria ejusdem Ordinis
V. Adjutórium nostrum in nómine Dómini. R. Qui fecit cælum et terram.
V. Dóminus vobíscum. R.Et cum spíritu tuo.
Orémus. Oratio
Deus, creátor et conservátor géneris humáni, dator grátiæ spirituális, et largítor ætérnæ salútis, benedictióne tua sancta béne † dic has rosas, quas pro grátiis tibi exsolvéndis cum devotióne ac veneratióne beátæ sempérque Vírginis Maríæ, ejúsque Rosárii, hódie tibi præsentámus et pétimus benedíci: et infúnde eis per virtútem sanctæ Cru † cis benedictiónem cæléstem, qui eas ad odóris suavitátem, et repelléndas infirmitátes humáno úsui tribuísti; talémque signáculo sanctæ Cru † cis benedictiónem accípiant, ut, quibuscúmque in infirmitátibus appósitæ fúerint, seu qui eas in dómibus suis portáverint, ab infirmitáte sanéntur: discédant diáboli, contremíscant et fúgiant pávidi cum suis minístris de habitatiónibus illis, nec ámplius tibi serviéntes inquietáre præsúmant. Per Christum Dóminum nostrum. R. Amen.
Autrefois, les Papes avaient accordé une indulgence plénière à l’article de la mort, à ceux qui utiliseraient simultanément la “Croix de la Bonne Mort” et la Médaille de Saint-Benoît. C’est un sacramental très ancien, puissant contre le “Malin” et approuvé par l’Église Catholique.
DESCRIPTION
La Croix de St-Benoît est un crucifix au milieu duquel on a inséré une médaille de St-Benoît. Sur l’une des faces de la médaille, se trouve représenté saint Benoît, patron de la bonne mort.
Apparaissant un jour à sainte Gertrude, ce dernier lui dit:
“Quiconque me rappellera ma dignité par laquelle le Seigneur a bien voulu m’honorer et me béatifier en me donnant une mort si glorieuse (saint Benoît est mort debout devant l’autel, et les mains levées vers le Ciel, après avoir communié) je l’assisterai fidèlement à l’heure de la mort et je m’opposerai à toutes les attaques que l’ennemi dirigera contre lui. Protégé par ma présence, il sera en sécurité malgré les pièges du tentateur, et s’élancera heureux vers les joies éternelles.”
La prière latine entourant saint Benoît, sur la médaille, se réfère à cette promesse. Si on fait la traduction, on lira: “PUISSIONS-NOUS ÊTRE PROTÉGÉS PAR SA PRÉSENCE À L’HEURE DE NOTRE MORT.“
Durant toute sa vie, saint Benoît eut une grande vénération pour la sainte croix, non seulement dans le but de vaincre ses propres tentations, parfois très violentes, mais encore pour anéantir de façon merveilleuse les mauvaises intentions et les artifices du démon, dont il est fait mention dans le deuxième livre des “Dialogues” de saint Grégoire le Grand. De son vivant, saint Benoît fut en butte aux persécutions. Un jour, on voulut le tuer en lui présentant une coupe de vin empoisonnée. Mais, au Signe de la Croix, signe de vie que le saint traça sur la coupe de mort, cette dernière vola en éclats.
Les initiales gravées sur la croix et autour d’elle, au revers de la médaille, font allusion à ce miracle. On les traduit en français par: “CROIX DU SAINT PÈRE BENOÎT. QUE LA CROIX SAINTE SOIT MA LUMIÈRE. QUE LE DRAGON (Satan) NE SOIT PAS MON CHEF. ARRIÈRE SATAN. NE ME PERSUADE PAS DES CHOSES MAUVAISES. CE QUE TU PRÉSENTES EST MAUVAIS. BOIS TOI-MÊME TES POISONS.”
Une curieuse histoire nous est rapportée à ce propos. On raconte qu'en 1647, on emprisonna quelques nécromanciennes1 en Bavière. En les interrogeant, elles déclarèrent que leurs agissements superstitieux étaient toujours restés sans effet aux endroits où se trouvait l'emblème de la sainte croix; leur domination ne pouvant notamment atteindre le couvent de Metten (Allemagne), elles en conclurent que ces lieux étaient particulièrement protégés. Après des investigations faites audit couvent, on constata que plusieurs peintures de la croix, appliquées de longue date sur les murs, portaient certaines lettres auxquelles on n'avait plus prêté attention. La signification de ces lettres ne put être trouvée que lorsqu'on découvrit, dans la bibliothèque du couvent, un manuscrit datant de 1415, dans lequel saint Benoît figurait portant dans la main droite une crosse se terminant par une croix. Sur cette crosse on lisait le texte suivant: "Crux sacra sit M lux N Draco sit Mihi Dux." Sa main gauche tenait un parchemin enroulé sur lequel figuraient les mots suivants: " Vade Retro Satana Nuq Suade M Vana. Sunt Mala Quae Libas Ipse Venena Bibas." Ce document révéla l'origine et le sens des lettres apposées aux murs; celles-ci formaient les initiales du libellé et du manuscrit.
(1) Nécromancien: personne prétendant prédire l'avenir en interrogeant les morts, pratique occulte superstitieuse interdite par la Bible et par l'Église.
La plus ancienne forme de la médaille de saint Benoît est ovale et porte le monogramme de Jésus (IHS) à son sommet. La nouvelle forme de médaille, dans le style de Beuron, est ronde. Elle a été créée pour le Jubilé de saint Benoît de 1880, 1400e anniversaire de sa naissance. Elle est aujourd’hui encore en usage sous le nom de médaille du Jubilé; c’est la plus courante. Ainsi qu’il a été mentionné plus haut, à la place de “IHS“, elle porte au-dessus de la croix figurant sur son verso, la devise bénédictine “PAX” (“Paix”). C’était, à l’origine, un monogramme du Christ en lettres grecques Chi – Rho, ce qui a donné en latin XP, d’où PAX.
PRIVILÈGES
L’Église ayant modifié ses lois concernant les indulgences (depuis 1999), il s’ensuit qu’il n’est plus obligatoire d’utiliser la Croix de la Bonne Mort pour obtenir l’indulgence plénière à l’heure de la mort. Cependant, il est fortement conseillé d’utiliser quand même un crucifix ou une croix, car la Croix, ayant été l’instrument de la Rédemption du monde, est par conséquent un objet de terreur pour l’enfer qui joue son dernier “sprint” à l’heure de la mort pour arracher chaque âme à Dieu.
La vertu de la médaille (et de la Croix) de saint Benoît réside dans l’invocation du Christ par l’intercession de saint Benoît. Elle donne une protection particulière contre les attaques du démon, les tentations de toutes natures et les maladies. On peut porter la médaille sur soi ou la fixer sur la porte des maisons et des étables et dans l’auto. On évitera naturellement d’attacher une valeur superstitieuse à la possession de la médaille ou de la Croix. Il ne suffit pas de la porter ou de la mettre dans un endroit que l’on veut protéger. Il faut avant tout vouloir conformer sa propre vie à l’Évangile et aux enseignements de saint Benoît qui sont la mise en application de l’évangile.
La Croix de St-Benoît (et la Médaille, lorsqu’elle est seule) doit recevoir une bénédiction spéciale comportant des exorcismes. Autrefois réservée aux Bénédictins, cette bénédiction, depuis Vatican II, peut être donnée par tout prêtre (non suspens et non excommunié) qui utilise le rite adapté. Les privilèges particuliers attachés à cette bénédiction spéciale sont ceux liés à l’exorcisme, dans le sens où le port de cette Croix (ou de cette Médaille) donne une grâce particulière pour lutter contre les attaques et séductions du démon.
QUELQUES PRÉCISIONS
À l’heure actuelle, les matériaux utilisés pour la croix et le Corpus importent peu. Pour la croix, il est louable de rester attaché au traditionnel bois, puisque la Croix du Christ fut de bois. Mais c’est un choix personnel et non une question de validité. Il en va de même pour les couleurs: il est recommandé d’employer des tons de bruns ou de noir, mais les autres couleurs sont quand même valides.
La médailles doit être en métal et non en plastique, en carton ou autres.
Quant aux lettres, parfois difficiles à lire en raison de l’usure ou du petit format de la médaille, il suffit, pour la validité, qu’on puisse reconnaître “grosso modo” qu’il s’agit d’une médaille de St-Benoît.
ATTENTION: on retrouve maintenant sur le marché des croix semblables à celles de St-Benoît, mais dont la médaille centrale est celle de Saite-Thérèse, par exemple… Ce n’est plus alors une Croix de St-Benoît. Retenons aussi qu’un sacramental perd ses indulgences quand il est vendu2. Il doit donc être béni après avoir été acheté.
(2) Vendu avec intention de négoce, et non pas vendu pour le prix coûtant, c’est-à-dire pour se faire rembourser l’argent que l’on a dépensé pour l’acquérir pour autrui.
UN TRÉSOR À RETROUVER
L’Église a toujours encouragé l’usage des sacramentaux approuvés par Elle: eau bénite, Scapulaire brun du Mont-Carmel, Croix de St-Benoît, Médaille Miraculeuse, etc. Ils sont de puissants outils qui, utilisés avec confiance et sans superstition, nous obtiennent de Dieu de nombreuses grâces d’ordre spirituel avant tout, et souvent même d’ordre temporel (guérison, protection des humains et des animaux). Le but de la Croix de St-Benoît est vraiment de nous aider à atteindre l’Essentiel, c’est-à-dire le salut éternel qui passe par la mise en pratique de nos promesses baptismales (renonciation à Satan et à ses œuvres) par l’amour du Christ et de Sa Croix, et par une mort EN ÉTAT DE GRÂCE.
Remettons vite ce “TRÉSOR” à l’honneur parmi les Chrétiens: le Ciel le met à notre disposition pour que nous nous en servions…
Pour faire apparaître le rituel (formule) de la bénédiction spéciale
de la Croix de Saint Benoît, en français Cliquer ici
On peut se procurer des Croix et Médailles de St-Benoît,
et les faire bénir de la bénédiction-exorcisme notamment chez:
Le pouvoir de bénir-exorciser la Médaille de St-Benoît (ou la Croix de St-Benoît) était autrefois réservée aux Bénédictins (de l’Ordre de Saint Benoît). Depuis le Concile Vatican II, il n’existe plus de bénédictions réservées. Tout prêtre catholique (non suspens et non excommunié) peut donc désormais bénir et exorciser Croix et Médailles de St-Benoît avec la formule suivante:
Le prêtre revêt l’étole et se sert de l’eau bénite.
Bénédiction de la croix
V/ Nous vous prions Seigneur, Père tout-puissant, Dieu éternel, de bé†nir cette croix afin qu’elle soit un remède salutaire pour les hommes, un appui ferme pour leur foi, un stimulant pour les bonnes œuvres ; qu’elle soit salut pour les âmes, consolation, protection et bouclier contre les traits cruels des ennemis. Par le Christ Notre-Seigneur. R/ Amen
Bénédiction de la médaille
V/ Je vous exorcise, médailles, par Dieu †le Père Tout-Puissant, qui a fait le ciel et la terre, la mer et tout ce qui est en eux. Que toute puissance de l’adversaire, toute assemblée diabolique, tout assaut et toute possession de Satan soient éradiqués et arrachés de ces médailles, afin qu’elles soient salut de l’âme et du corps pour tous ceux qui les porteront, au Nom du Père †Tout-Puissant, et de Jésus-Christ, son Fils, Notre-Seigneur †, et du Saint-Esprit † Consolateur, et dans la charité du même Seigneur Jésus-Christ qui viendra pour juger les vivants et les morts et le monde par le feu.
R/ Amen.
V/ Seigneur, exaucez ma prière.
R/ Et que mon cri parvienne jusqu’à Vous.
V/ Le Seigneur soit avec vous.
R/ Et avec votre esprit.
V/ Prions – Nous vous supplions, Dieu tout-puissant, dispensateur de tout bien, de répandre votre béné†diction sur ces médailles par l’intercession du Saint Père Benoît, afin que tous ceux qui les porteront tout en étant attentifs à accomplir les bonnes œuvres, méritent d’obtenir la santé de l’âme et du corps, la grâce de la sanctification, ainsi que les indulgences qui nous ont été concédées. Que par le secours de votre miséricorde, ils s’appliquent à éviter tout piège et tromperie du démon, et qu’ils soient trouvés dignes de paraître saints et sans tâches en votre présence. Par le Christ Notre Seigneur.